La chatte
Colette
Livre de poche, 1957.
Ce roman relate la passion d'un jeune homme, Alain, pour son animal de compagnie, Saha, une fascinante chatte de la race des chartreux. Jeune marié, il reste impénétrable aux yeux de sa femme, Camille, qui se prend de jalousie pour la chatte, favorite insurpassable.
(Résumé de wikipedia.org)
Je ne sais absolument pas quoi dire de ce roman. L'ayant commencé dans une période de travail intense, je n'ai pas vraiment réussi à me plonger dans ce livre ... qui, au final, me laisse dubitative.
J'avais envie de découvrir Colette depuis longtemps. Quelque chose dans les titres de ses romans m'évoque le bonheur des choses simples de la vie, le plaisir de la contemplation. J'ai trouvé La chatte intéressant et bien écrit, mais je n'ai pas pour autant été totalement emballée. Pas assez de douces descriptions comme je m'y attendais. Parfois trop lent, parfois trop rapide. Bref, un je-ne-sais-quoi qui ne m'a pas séduite. Pourtant, je dois admettre que c'est un texte totalement maîtrisé, original et intelligent. Ce triangle amoureux est très bien mené et saisissant. J'ai aimé participé aux échanges entre Camille et Alain, Alain et Saha, Camille et Saha. Ce texte est profond et mérite une grande analyse que je suis incapable de faire. Ce n'était pas le moment d'ouvrir ce texte je crois. J'ai du mal à le critiquer négativement car je sais qu'il ne le mérite pas. C'est un bon texte ... sincèrement. Mais je crois que je suis passée à côté ... et je ne sais pas pourquoi.
Après ce bref et décevant avis, je ne peux dire qu'une chose, La chatte est un roman à lire ... mais qui, pourtant, ne me laisse pas un souvenir inoubliable ... malheureusement. Je compte bien lire Chéri pour rattraper ce demi-échec.
" L'œil au loin, immobile, Camille lui tournait le dos. Pourtant la chatte regardait le dos de Camille, et son souffle s'accélérait. Elle se leva, tourna deux ou trois fois sur elle-même, interrogea la porte close... Camille n'avait pas bougé. Saha gonfla ses narines, montra une angoisse qui ressemblait à la nausée, un miaulement long, désolé, réponse misérable à un dessein imminent et muet, lui échappa, et Camille fit volte-face. "
(La chatte, Colette, Livre de poche, 1957)
(Résumé de wikipedia.org)
Je ne sais absolument pas quoi dire de ce roman. L'ayant commencé dans une période de travail intense, je n'ai pas vraiment réussi à me plonger dans ce livre ... qui, au final, me laisse dubitative.
J'avais envie de découvrir Colette depuis longtemps. Quelque chose dans les titres de ses romans m'évoque le bonheur des choses simples de la vie, le plaisir de la contemplation. J'ai trouvé La chatte intéressant et bien écrit, mais je n'ai pas pour autant été totalement emballée. Pas assez de douces descriptions comme je m'y attendais. Parfois trop lent, parfois trop rapide. Bref, un je-ne-sais-quoi qui ne m'a pas séduite. Pourtant, je dois admettre que c'est un texte totalement maîtrisé, original et intelligent. Ce triangle amoureux est très bien mené et saisissant. J'ai aimé participé aux échanges entre Camille et Alain, Alain et Saha, Camille et Saha. Ce texte est profond et mérite une grande analyse que je suis incapable de faire. Ce n'était pas le moment d'ouvrir ce texte je crois. J'ai du mal à le critiquer négativement car je sais qu'il ne le mérite pas. C'est un bon texte ... sincèrement. Mais je crois que je suis passée à côté ... et je ne sais pas pourquoi.
Après ce bref et décevant avis, je ne peux dire qu'une chose, La chatte est un roman à lire ... mais qui, pourtant, ne me laisse pas un souvenir inoubliable ... malheureusement. Je compte bien lire Chéri pour rattraper ce demi-échec.
" L'œil au loin, immobile, Camille lui tournait le dos. Pourtant la chatte regardait le dos de Camille, et son souffle s'accélérait. Elle se leva, tourna deux ou trois fois sur elle-même, interrogea la porte close... Camille n'avait pas bougé. Saha gonfla ses narines, montra une angoisse qui ressemblait à la nausée, un miaulement long, désolé, réponse misérable à un dessein imminent et muet, lui échappa, et Camille fit volte-face. "
(La chatte, Colette, Livre de poche, 1957)